King, Stephen – Duma Key
Résumé du livre
Duma
Key : un trait de crayon sur une page blanche. Une ligne d’horizon,
peut-être.
Mais
aussi une ouverture dans laquelle s’infiltrent les ténèbres…
Mutilé par un terrible accident, abandonné par sa femme, Edgar Freemantle,
un businessman du Minnesota, décide de tout quitter pour la Floride.
Une nouvelle vie l’attend sur l’îlot de Duma Key, langue de terre
presqu’inhabitée, dévastée régulièrement par des ouragans imprévisibles, et qui
appartient à une mécène excentrique dont les sœurs jumelles ont disparu dans
les années 20. Edgar va s’y découvrir un incroyable don pour la peinture. Les
incroyables couchers de soleil lui inspirent des tableaux qui vont vite se
révéler dangereusement prémonitoires. Freemantle comprend alors qu’il doit
découvrir ce qui est arrivé aux jumelles et l’étrange secret de la propriétaire
des lieux, avant que les ténèbres n’engloutissent Duma Key et ses habitants.
Un roman sur l’amitié, les liens qui unissent père et fille, sur la
mémoire, la vérité et l’art. Une métaphore de la vie et des sources
d’inspiration de l’écrivain, une exploration de la nature, du pouvoir et des
influences de la fiction. Mais aussi un King subtilement terrifiant !
· Broché: 656 pages
Editeur : Albin Michel (1 avril
2009)
Collection : LITT.GENERALE
Langue : Français
ISBN-10: 2226190945
ISBN-13: 978-2226190949
Ma critique
Sans être un grand roman ni un grand Stephen King, Duma Key est un bouquin
qui se laisse lire sans déplaisir … au bout des 200 premières pages !
Parce que le début est assez soporifique (j’ai bien failli abandonner).
Le personnage manquant au départ de charisme et de profondeur avant de s’étoffer
en même temps que l’intrigue vers le milieu du roman.
Ennuyeux, bavard et gratuitement vulgaire, le début rebute.
Ensuite le suspense arrive et montera crescendo jusqu’au dénouement très
flippant.
Pèle-mêle on peut noter parmi les points forts : une intrigue plutôt bien construite, une jolie relation
père/fille, une vieille dame attachante, un ex-avocat mystérieux, quelques
scènes d’angoisse pure dans une atmosphère étouffante et une fin haletante et
poignante qui donne mal au ventre pour les personnages.
Une certaine idée de l’art et de la création selon Stephen King qui mérite
lecture malgré tout.